Ne jamais baisser les bras si vous êtes convaincu que vous voulez faire ce métier, quoique l’on dise autour de vous. Beaucoup de mes professeurs de lycée ont tenté de me dissuader ou de me faire passer par une prépa. J’ai cru en moi et je me suis lancée et maintenant, je me rapproche chaque jour un peu plus du métier.!
Les enseignants DE ENMIG-TP nous disent que d’ici trois ans nous ne serons plus les mêmes, et je commence déjà à le ressentir. Et lors du concours, il faut réviser un maximum de vocabulaire médical.
D’être motivé à 100% pour faire ce métier. De se renseigner un maximum sur la profession afin de ne pas avoir de mauvaises surprises. C’est un métier qui demande à ce qu’on se dépasse, qu’on s’endurcisse. Étudier en ENMIG-TP, ça forge le caractère..
même si l’on commence à douter parce que l’épreuve a l’air trop difficile, il faut aller jusqu’au bout.
’ai dû totalement revoir ma manière de travailler. Être en études d’infirmière, cela demande beaucoup de travail personnel. Personne n’est là pour te dire quand et quoi réviser, tu dois apprendre très vite à faire preuve d’autonomie.
Pour commencer, j’ai toujours voulu travailler dans le domaine médical. J’envisageais de passer le concours d’infirmière et de me spécialiser pour devenir puéricultrice, et ainsi pouvoir travailler auprès des enfants..
j’ai passé le concours d’auxiliaire de puériculture que j’ai réussi. Grâce à mon bac pro ASSP, j’étais dispensée d’épreuve écrite et n’avais qu’à passer l’oral..